Memorial Ho Chi Minh


45 hectares

Nghe An Vinh Province

2020

Le projet s’ancre entre les deux rivières oubliées dont on peut encore lire les traces. Il organise une implantation de pavillons ouverts et transparents organisés sur une trame perpendiculaire à l’axe principal.Une plaque miroir d’eau et dans l’axe entre les deux montagnes apporte cohérence et unité au mémorial. Tout autour du miroir plan d’eau s’organise un ensemble bâti et végétal qui forme une masse unique.
On y trouve un centre de recherche et de communication sur HCM, des écoles de formations, un bâtiment d’accès général et sa logistique associée, des centres d’hébergements (collectifs pour l’accueil d’écoles, individuels pour des groupes ou des familles). Un centre de documentation, des zones d’artisanats, des restaurants de gammes diverses, un musée.


MO
T&T

MOE

DE-SO Asia

Coût
250 million €

Mission
1/500 realise

Programme & objectifs

Avec la construction d’un nouveau mémorial, Il faut d’organiser la venue quantifiee de
2 millions de visiteurs par an.
Le projet proposé est un « support », un mécano qui négocie plus finement un programme ultérieurement.
Le principe du projet est d’installer un système d’implantation bâties suffisamment souple pour être modifié. C’est un principe urbain.
Certaines pièces peuvent évoluer, se déplacent, disparaissent et compose un tissu atypique.
Dans le bouddhisme, le miroir est considéré comme un instrument magique et sacré. Il est le symbole de la plus haute connaissance.

Caractéristiques

Au Vietnam l’usage de la terre, du sol agricole est en mutation, le territoire se modifie sans cesse, cette modification radicale du paysage savamment entretenue depuis des siècles par les paysans connaît au 21eme siècle un changement fulgurant.
La géographie s’efface, les usages millénaires ou s’intriquaient savamment agriculture et hydrologie changent, les lignes de ciel se brisent avec l’arrivée de nouvelles constructions, d’usines, de bâtiments aux échelles variées et avec une extension anarchique des villages qui instaurent de nouvelles limites toujours mouvantes. Les tracés historiques (chemins, cultures, limites) entretenues durant des siècles par les paysans savants disparaissent … Dans la province de Nghe An, c’est exactement l’exemple d’une géographie qui s’oublie ; Les rivières étranglées et asséchée sont remplacées par des canaux d’irrigations artificiels, ces derniers modifient complètement les tracés et la nature du paysage agricole.
Le paysage et les horizons
Ce sont précisément les vides constitues de rizières entre les villages qui fondent l’identité des paysages du Nord Vietnam depuis des centaines d’années.
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